3 astuces pour bien commencer l’année
C’est reparti pour un tour de 365 jours !
Allez-vous vous inscrire dans la continuité de l’année écoulée ou avez-vous envie de changer deux ou trois choses pour vivre cette année de façon plus alignée ?
Quelle que soit votre intention, je vous propose 5 astuces pour bien commencer l’année.
5 astuces ou 5 conseils ou 5 « trucs » avec lesquels se reconnecter pour plus de fluidité et de bien-être.
1/ Cultiver la pensée positive
Finalement, c’est pareil pour tout le monde : ruminer ses inquiétudes et contrariétés, ne sert strictement à RIEN.
Et même si on a le sentiment de ne pas pouvoir s’en empêcher, tourner en boucle sur le négatif ne fait que l’amplifier.
Pour remédier à ça, on peut commencer par s’observer durant quelques jours : quelles pensées me traversent ? Sont-elles positives ? Négatives ? Neutres ? Sur 100 pensées, combien contiennent de l’anxiété, du stress, de l’insécurité ? Combien contiennent de la joie, de l’élan, de l’amour ?
Ensuite, on peut décider de couper court toute pensée négative en se branchant sur ce qui est réel et sur ce que l’on peut faire.
On court circuite les hypothèses en tout genre. On reste sur le factuel. On se dirige vers les solutions (plutôt que les ruminations).
Je l’ai souvent mentionné dans mes articles et c’est vrai que c’est totalement contre-intuitif mais : le seul remède à la peur, c’est l’action.
Alors stop les pensées pirates ! On objective et on agit.
2/ Soigner son sommeil
Un mauvais sommeil, c’est pareil pour tout le monde : ça rend plus sensible.
Plus sensible au rythme parfois soutenu de la journée, plus sensible aux gens que nous côtoyons, plus sensible aux petits tracas du quotidien, plus sensible au froid, à la lumière, à la pluie… Bref, ça ne nous met absolument pas dans de bonnes dispositions.
La première chose à faire est d’accueillir cette fatigue. Elle est là, faisons avec, plutôt que de passer la journée à râler, à lutter, à essayer de se bouger comme si on avait dormi 9h. Inutile de se fatiguer davantage : la fatigue est là, accueillons la.
Ensuite, regardons de plus près comment notre sommeil est troublé. A l’endormissement ? Durant la nuit ? Au réveil ?
Dans tous les cas, n’oublions jamais que le sommeil se prépare en journée que cela soit du point de vue de l’alimentation, du mouvement, de la régulation émotionnelle en soi et avec les autres, de la charge mentale par exemple.
Personne ne dort bien lorsqu’il se couche fâché, ballonné, débordé, stressé. Personne.
On peut aussi examiner si les signes de fatigue sont bien perçus et écoutés. Certaines de mes clientes me confient parfois être épuisées à 21h mais lutter car elles refusent de « se coucher à l’heure des poules sans avoir profité de la soirée« . Soit. Mais lutter contre l’envie de dormir et malmener son besoin de repos : est-ce passer une bonne soirée ?
Dernier point : les réveils nocturnes accompagnés de difficultés à se rendormir sont exacerbés lorsque l’on fait TOUT pout se rendormir. On regarde son réveil en se disant « oh la la il faut que je dorme, il me reste 3h avant mon lever ! ». Là encore, dans ce cas, il est plus juste de se relaxer et de viser le repos du corps que de vouloir à tout prix se rendormir. Plus on force, moins ça marche. Donc, si au bout de 20 minutes, vous avez toujours les yeux grand ouverts : aller boire un verre d’eau, lisez quelques lignes, écoutez de la musique calme… mais n’entrez pas dans la spirale agaçante qui nous met en attente, en stress et en frustration.
3/ S’alléger le plus possible
Je ne parle pas de ces quelques chocolats et autres réjouissances qui ont pris place sur nos cuisses durant les fêtes, non. Ils vont vite passer leur chemin.
Je parle de tout ce qui nous alourdit plus ou moins consciemment : cette interminable to-do list sur notre bureau, ces relations toxiques bouffeuses d’énergie ou de temps, ces objets cassés ou détériorés qui trainent, ces vêtements qui attendent le retour de la mode ou le retour de notre silhouette à 19 ans, ces obligations qu’on se met toute seule,…
Bref, je vous invite à commencer l’année par un tri !
Regardez autour de vous, en vous et demandez-vous si le temps et l’énergie que vous y consacrez en vaut la chandelle. Que cela soit des objets ou des personnes : sont-ils des moteurs de joie ? De plaisir ? D’épanouissement ? Ou de négatif et de ruminations (cf. 1). Et si c’est difficile d’évaluer, vous pouvez aussi vous demander : et si je n’avais pas cela dans ma vie (cette relation, ces obligations, ces tâches à faire,…), comment je me sentirais ?
En général, ça permet de remettre notre mental à sa place pour redonner sa place à notre cœur.
Radical.
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