Connaitre son niveau de bien-être en 3 critères

Ne comptez pas sur moi pour le sujet « bonnes résolutions » et autres réjouissances de début d’année, je n’aime pas les résolutions tout court !

Cette fois, pour mon retour ici après quelques jours de vacances, j’ai pensé à une mini-évaluation personnelle. Le genre de truc qu’on peut faire entre soi et soi, en toute intimité et qui peut-être permet de voir où on en est en ce début d’année par exemple.

Pas pour prendre des résolutions ensuite, pitié !
Juste pour prendre conscience et peu à peu réajuster si besoin.

Les 3 critères choisis sont totalement arbitraires ! Je les ai sélectionnés car ils me parlent. Ils vibrent comme importants pour moi. Sans eux, quelque chose se déséquilibre et on finit insatisfait !

Quel dommage.

Si le coeur vous en dit : prenez un papier et un stylo et hop c’est parti !

Critère n°1/ Où et comment se manifeste votre joie ?

J’aime la joie. J’aime ressentir de la joie. Vous savez ? Cette « émotion agréable et profonde, ce sentiment exaltant ressenti par toute la conscience ».

Je ressens de la joie plutôt souvent il me semble. Les dernières fois ?
Quand j’ai retrouvé mon chéri et mes enfants après une intense journée de travail. Ils étaient juste là ensemble et cela m’a rempli de joie 🙂
Quand j’ai rangé mon bureau (hum hum que s’était-il passé ?).
Quand j’ai vidé 4 sacs d’habits « à donner » durant les vacances. #libérée #délivrée
Quand j’ai réussi à cuisiner une bûche à Noël qui s’est avérée (après deux essais) super bonne.
Quand mes clients vont bien ou vont mieux.
Quand j’ouvre un 3ème cabinet à Libourne.
Quand je ris et passe de bons moments avec mes proches.
Quand je sens que « ça va bien ».
Etc.

Dans ces moments-là, j’ai la sensation que tout est à sa place. Que tout est parfait. Cela n’empêche pas les tracas ou les soucis par ailleurs, mais au moins, dans ces instants, seule ma joie compte. Personne ne peut m’enlever toute la joie déjà ressentie et enregistrée dans mon coeur. Mon but est de la rencontrer le plus souvent possible. Au quotidien et pas de façon exceptionnelle.

Pour cela, un « tri » est nécessaire, à l’image de celui de nos placards : enlever ce qui ne va plus. Jeter ce qui n’est plus au goût du jour. Faire de la place pour du neuf, du beau, du chouette,… qui donne de la joie.

Critère n°2/ Comment va votre énergie ?

Je rattache ici « énergie » au niveau de vitalité et d’élan de notre corps et de notre psychisme. Car sans cette énergie, difficile de ressentir du bien-être…

Pour le corps, j’en ai déjà parlé dans ce blog, la première question à se poser est peut-être celle-ci : « quel lien est-ce que j’entretiens avec mon corps ?« . Autrement dit, êtes-vous amis ? Ennemis ? Colocataires ? Obsessionnels ? Sereins ? Etc.

Je considère que cette relation est comme toutes les relations : elle a des phases ! Des hauts et des bas. L’essentiel étant de ne jamais (se) lâcher en apprenant à s’aimer et à prendre soin de soi.

Pour le psychisme, je parle essentiellement :
– de notre état personnel : calme, positif, ouvert, motivé, apaisé… ou plutôt : agacé, triste, stressé, débordé par des émotions négatives, méfiant, etc. ?
– et bien sûr, des relations que nous entretenons : sont-elles porteuses de bon, de bienveillance, d’équilibre,.. ou sont-elles toxiques, décevantes, source de stress, etc. ?

Là encore, il y a sans doute à regarder les choses en face et à décider de prendre soin de soi si nécessaire 😉

Critère n°3/ Quelles sont mes sources de reconnaissance ?

Nous avons tous besoin de reconnaissance. La question est : ce besoin est-il comblé et de quelles manières ?
S’il est comblé, tout va bien, nous avons trouvé une sorte d’équilibre dans lequel on s’y retrouve.
S’il est partiellement comblé, quelles parties de nous sont « nourries » et lesquelles ne le sont pas ? Et surtout : pourquoi ? Sommes-nous reconnus par notre partenaire de vie mais pas professionnellement ? Ou l’inverse ? Sommes-nous reconnus par nos enfants mais pas par nos parents ? Ou l’inverse ? Souffrons-nous d’un manque de reconnaissance la plupart du temps et ce même envers nous-même ? Etc.

Lorsque l’on reçoit de la reconnaissance, sous forme de gratitude, de compliments, d’argent, de temps, d’attention, de bienveillance, de présence,… on le sent car ça fait généralement, beaucoup de bien.

Et lorsque nous n’en ne recevons pas assez, on le sent aussi, nous nous sentons frustrés, déçu, en colère, insatisfaits,… etc.

Peut-être devons-nous identifier où ça coince pour pouvoir décider de faire autrement. Par exemple : arrêter d’attendre une reconnaissance qui ne viendra pas et chercher où et comment s’en offrir et/ou en trouver ailleurs ?
Ce n’est pas toujours facile mais comme on dit, le jeu en vaut la chandelle !

 

Alors ? Si vous aussi vous aimez ces critères, comment évaluez-vous votre niveau de bien-être ? 😉

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