Ce que les femmes devraient faire plus souvent
Spoiler : aujourd’hui nous parlons « autorisation ».
Pourquoi ?
Parce que je constate assez régulièrement la chose suivante auprès de certaines de mes clientes : leur difficulté à prioriser ou plutôt à se prioriser.
Et je le remarque notamment :
- lorsqu’elles sont capables d’être hyper disponibles pour leurs enfants, pour leur famille, pour leur conjoint mais peu voire pas pour elles,
- lorsqu’elles sont capables de dépenser de l’argent pour gâter leurs proches mais pas pour elles,
- lorsqu’elles se mettent en quatre pour que leur entourage soit bien, chouchouté, le tout dans une maison rangée, propre et agréable mais qu’elles ne prennent pas de temps pour elles,
- lorsqu’elles font passer les besoins et les désirs de leurs enfants, de leur famille, de leur conjoint avant tout, oubliant qu’elles aussi elles en ont,
- lorsqu’elles réinjectent le rare temps qu’elles ont dans des tâches ménagères mais pas dans des activités pour elles,
- etc.
Ces femmes se sont perdues de vue elles-mêmes. Elles se sont mises au service des autres, sauf d’elles.
Résultat ?
Elles témoignent souvent de leur fatigue physique et émotionnelle.
De leur tiraillement entre être cette femme-là (prévenante, attentionnée, tournée vers les autres) et tout envoyer balader quand le ras le bol et l’épuisement arrivent.
De leur incapacité à « faire autrement ».
De leur peur de devenir « égoïste« si elles commencent à penser un peu plus à elles.
De leur peur de ne plus être une bonne mère, épouse, compagne, salariée, etc. si elles en font moins.
De leur difficulté à imaginer qu’elles puissent fonctionner autrement et de façon juste et harmonieuse pour elles (et pour leur entourage).
Ainsi, lorsqu’elles arrivent jusqu’à moi, ces femmes expriment un mal-être, une lassitude, de la colère ou encore du désarroi. Mais elles ont aussi la sensation d’être véritablement face à une page blanche. De ne pas avoir de mode d’emploi pour se sentir mieux.
Ensemble, nous cheminons (entre autres) au-travers de la notion d’autorisation.
Pour apprendre à s’autoriser à vivre pour soi (aussi).
Cela nécessite avant tout, de se reconnecter à soi. De retrouver le chemin vers soi et ce, en toute sécurité.
Cela invite à se redécouvrir, à s’écouter, à développer son estime personnelle.
Et quand ces femmes commencent à toucher ça du doigt, elles réouvrent une porte bienfaisante.
Elles comprennent rapidement l’intérêt de rééquilibrer leurs priorités.
Elles expérimentent entre chaque séance, une autre façon de se vivre plus en harmonie, moins en tensions.
C’est un chemin de libération, de confiance et de légèreté.
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