3 réflexes quand tout va de travers


Des coups durs
, on en a tous.

Des petits, des gros. Des ponctuels, des plus longs.

 

Au début, on « gère ». On fait au mieux.

Puis au bout d’un moment, nous nous sentons mal.

Désaxés.

Désalignés.

Pas à notre place.

Frustrés, en colère, lassés, perdus.

 

Alors, pour essayer de traverser ces remous du mieux possible, c’est à dire en se faisant le moins mal possible, voire en se faisant du bien, voici 3 réflexes à avoir :

1/ On accueille ses sensations

Celles et ceux qui me lisent régulièrement le savent : accueillir nos sensations est une piste que je vous propose souvent !

En effet, comment savoir quoi faire, quand on ne sait déjà pas ce qu’il se passe en nous ?

Impossible.

Alors pour commencer, on se pose et on ressent, on se ressent. Comme une liste, on peut se dire intérieurement par exemple :

quand je pense à mon problème, j’ai une sensation d’oppression dans la poitrine, j’ai envie de pleurer, je stresse, etc.

On ne juge pas. On est factuel.

 

2/ On identifie ses besoins non satisfaits

Souvent, notre mal-être est lié à un (ou des) besoin non comblé. Si on ne cherche pas à savoir lequel c’est, on ne risque pas d’aller mieux.

Cela peut être : un besoin de sécurité, un besoin d’affection, un besoin de reconnaissance, un besoin de repos, un besoin d’être stimulé, etc.

Ne pas hésiter (pour le trouver) à aller au-delà de la 1ère réponse en se demandant « Pourquoi ? ».

 

3/ On agit en confiance

Une fois identifié le besoin, on peut choisir quelle action mettre en place pour y répondre.

Mais petite précaution : je propose de se poser d’abord la question qui suit.

Si je n’avais pas peur, qu’est-ce que je ferais pour répondre à mon besoin ? 

Car la peur nous paralyse et nous met sur des routes confortables mais pas ou peu vibrantes.

Alors que, retrouver un peu de spontanéité, de cœur, de liberté d’être et d’agir, fait énormément de bien.

C’est en mettant tout cela en musique que l’on est ensuite capable de prendre de bonnes décisions et de nous réaligner.

 

Un exemple ? 

Je suis mal au travail, déçu, je rumine, je m’épuise, j’en ai marre. 

1/ J’ai la boule au ventre chaque matin. Je dors mal. Je ressasse certaines situations dans lesquelles je me sens mal. Je ressens de la colère et de l’injustice. 

2/ Mon besoin sous-jacent est un besoin de reconnaissance de mon travail. Et plus précisément, un besoin de revalorisation de mon travail. 

3/ Si je n’avais pas peur, j’irais demander une augmentation. OK je vais aller demander une augmentation. Je vais préparer ma demande, lister les dossiers que j’ai pris en charge cette année, mes résultats, etc. en vue d’un entretien. 

 

A vous maintenant ! Dites-moi en commentaire si ces 3 réflexes vous inspirent 🙂

 

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