Certains y pensent et puis oublient (c’est la vie, c’est la vie).

Certains sont invités par leurs proches à « consulter quelqu’un » mais… ils ne se sentent pas concernés 😉

Certains attendent le 2 janvier 2018 pour mettre en œuvre leurs bonnes résolutions.

Certains ne savent pas si ça les aiderait.

Certains ont pris leur décision mais ne parviennent pas à choisir.

Certains n’y voient aucun intérêt…

Et d’autres, un jour, ont sauté le pas.

 

Au commencement

Faire une thérapie – décider de se faire aider – est déjà le fruit d’un long processus intime et personnel (j’ai bien dit personnel)…

Il est probable qu’avant cela, des semaines, des mois, des années de souffrance se soient écoulés.

Ce processus mature peu à peu jusqu’à ce que dans la balance, la souffrance ressentie soit trop lourde de conséquences.

Alors, lassés, nous décidons qu’il faut faire quelque chose. L’envie d’être pris en charge est là. Le besoin de lâcher ce trop plein quelque part, à quelqu’un émerge enfin.

Bien souvent, le choix de tel ou tel thérapeute est alimenté par le bouche à oreille. Mais d’autres critères entrent en ligne de compte : le lieu, le tarif, la pratique, le site, la tête du professionnel, sa méthode,…

 

Mise en route

Le tout premier coup de fil de prise en RDV peut être délicat.
Lâcher enfin ce qui nous tourmente. Dire avec des mots, ces maux qui nous assaillent. Poser enfin ses valises…
Certains s’en rappelleront encore des années après, entre relâchement et fierté d’avoir osé, d’avoir agi.

Puis vient l’heure du premier RDV qui me semble crucial car il permet de sentir si nous sommes à la bonne place, auprès d’un professionnel à qui nous estimons pouvoir faire peu à peu confiance. Sans cela, inutile d’insister !

Les toutes premières séances permettent de créer la relation, d’installer le dialogue et la pratique spécifique.

Les suivantes creusent, interrogent, rappellent, évoquent, émeuvent, étonnent, confortent, font rire, agacent, remuent, stagnent, lassent, réjouissent, interpellent, apaisent, guérissent, réparent…

 

Et au final ?

Les propositions thérapeutiques sont multiples. Reste à trouver (en prenant tout le temps nécessaire) ce qui nous correspond et nous fait du bien !

Une fois fait, que l’on y ait consacré 3 mois ou 5 ans, les ressentis sont là (tout ou parties) :

Plus d’estime personnelle, de la bienveillance envers soi
Une confiance en soi renforcée
La capacité à entendre et écouter ses émotions et donc, ses besoins
La capacité à mettre à distance certaines choses ou certaines personnes
Un recentrage sur soi
La conviction de soi
La fin de fonctionnements inadaptés et engendrant de la souffrance
L’intégration d’outils concrets pour prendre sa vie en main et ne plus subir
Un moral boosté, moins de stress, de la motivation, des sourires, de la joie au quotidien
De la sécurité intérieure
De l’apaisement
Une vision plus optimisme, plus confiante de la vie
Moins de peurs, moins d’angoisse
Un »ménage » relationnel inéluctable
De nouvelles rencontres réjouissantes et motivantes
Plus d’amour, plus de paix, plus de respect de soi et les Autres…
De la réussite, de bons moments, du bonheur quoi !

 

Bien entendu, le chemin est totalement personnel et ressemble rarement à un long fleuve tranquille 😉

Mais quelle libération ensuite…

Un immense cadeau à se faire à soi-même tiens !

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