Nan mais vous avez vu cette photo d’illustration ? Elle dĂ©chire ! Plus kitch on ne peut pas. On dirait Titanic version savane 😉

En fait (expression prĂ©fĂ©rĂ©e de mon fils de presque 4 ans qu’il rĂ©pĂšte environ… 1000 fois par jour), en fait donc, lorsque j’ai eu l’idĂ©e de cet article, j’ai immĂ©diatement associĂ© le mot « force(s) » Ă  un lion.

J’aurais pu faire le lien avec des Ă©pinards, des altĂšres, du bĂ©ton, le mental d’un sportif de haut niveau, un marteau, un bras de fer,…

Mais non.

Bref.

Alors pourquoi cet article ? Qui, soit dit en passant, en rappellera sans doute d’autres, prĂ©cĂ©demment Ă©crits par mes soins…

Pourquoi ?

Parce que finalement, chaque jour, des tonnes de raisons d’ĂȘtre nĂ©gatifs, de se dĂ©valoriser ou de se sentir nuls, dĂ©ferlent sur nous !

#unpeuénervée

Oui chaque jour.

Parce qu’en fait (#mercimonfilsjesuispossĂ©dĂ©eaussi), c’est un peu comme si on nous attendait au tournant.

Qui on ?

Notre boss, nos collĂšgues, notre conjoint(e), nos enfants, notre famille, nos amis, nos voisins, nos animaux de compagnie (si si aussi).

Sans tomber dans la thĂ©orie du complot gĂ©nĂ©ralisĂ©, force est de constater que nous sommes assez souvent dans le contrĂŽle de nous-mĂȘme, Ă  nous torturer le ciboulot pour savoir :

si on fait bien,

si on est au top,

si les gens vont apprécier nos actions, nos idées, nos dossiers, nos décisions, nos articles, etc.

si on fait comme il faut,

si on va satisfaire untel,

si on va ĂȘtre apprĂ©ciĂ© pour ce que l’on fait ou pour qui l’on est,

si on est parfait, sympa, lookĂ©, efficace, sexy, intelligent… ETC.

 

J’arrĂȘte la liste parce qu’elle est malheureusement potentiellement lonnnnnnnngue.

Et tous ces enjeux-lĂ , peuvent ĂȘtre bien planquĂ©s mais tellement puissants qu’ils nous amĂšnent Ă  vivre dans l’attente.

L’attente d’une sorte de validation. Qui dirait OK tu es valable ou apprĂ©ciable ou efficace.

Une sorte de couperet qui nous ferait passer une bonne journĂ©e (un peu comme notre balance qui nous octroie un matin une perte de 243 grammes et qui fait qu’on est de bonne humeur). #tsssss

 

Le cas Ă©chĂ©ant, nous tombons dans le piĂšge de tout prendre pour nous et au pied de la lettre s’il vous plait.

Cela donne des doutes sur soi, sur ses capacités, ses compétences, ou pire, sur ses propres ressentis.

Cela donne le sentiment de ne pas en faire assez, de ne pas ĂȘtre assez de façon gĂ©nĂ©rale.

Cela donne l’impression de ne jamais ĂȘtre Ă  la hauteur du « job ».

Cela donne une réduction et une fragilisation de notre confiance personnelle.

Cela donne la sensation qu’il faut lutter, lutter, lutter…

 

A ce stade, j’ai envie de dire STOP !

Et surtout de vous proposer un truc. 

 

Chaque fois que nous nous sentons « tout petit » (ou tout nul ou tout moche ou tout pas comme il faut), visualisons-nous debout sur le sol, au mĂȘme niveau que notre interlocuteur. Personne n’est positionnĂ© au-dessus, personne n’est positionnĂ© en-dessous.

Puis, observons les choses de façon un peu diffĂ©rente par rapport Ă  d’habitude : ne nous considĂ©rons pas en attente.

Soyons proactifs !

Pour cela, identifions nos forces, nos capacités, nos talents, nos compétences (nous en avons pleins, encore faut-il prendre le temps de les lister).

Puis, plutĂŽt que de nous mettre en posture d’exĂ©cutant (d’une mission obscure pour laquelle nous pensons que d’autres attendent quelque chose de nous), mettons-nous en position de contributeur de notre propre bonheur ou bien-ĂȘtre. 

C’est Ă  dire, dĂ©cidons de partager nos merveilleux potentiels avec qui nous l’entendons. Et ce, de façon sincĂšre et authentique.

Faisons cela POUR NOUS-MÊME !

Ainsi la question de savoir si je fais assez bien devient : j’apporte ce que j’ai Ă  apporter et je fais de mon mieux, je trouve de la satisfaction dans ce que j’ai fait MOI. Si cela fait sens pour moi, je rĂ©ajsute si nĂ©cessaire en refaisant ou en me formant ou en m’informant.

La question de savoir si on est au top devient : je prends soin de moi, je suis comme je suis, j’apprends Ă  m’aimer, peu Ă  peu je deviens mon meilleur ami.

La question de savoir si les gens vont apprĂ©cier nos actions, nos idĂ©es, nos dossiers, nos dĂ©cisions, nos articles, etc. devient : je contribue au monde, je fais ce que j’ai Ă  faire en conscience et de toute mon Ăąme. Je suis authentique dans mes actes et mes pensĂ©es. Je sais que ce que je produis Ă  de la valeur.

La question de savoir si on fait comme il faut, devient : je fais de mon mieux sans jamais sacrifier mes choix de vie et ma santĂ©. Je partage authentiquement mes compĂ©tences, mes talents, mes qualitĂ©s. Je suis ouvert pour apprendre. J’ai confiance en moi. Je fais ce qui est juste pour moi.

Etc.

Se concentrer sur nos forces, c’est remettre au premier plan, une vision bĂ©nĂ©ficiaire de nous-mĂȘme (versus une vision dĂ©ficitaire). 

Et avec cette approche, tout à coup, ça va mieux 🙂

 

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