20 affirmations positives pour lâcher-prise

Ah le fameux « lâcher-prise »…

Pas simple n’est-ce pas ?

On en rêve, on tente des « trucs », on fait des respirations, on essaie de prendre du recul, de se calmer, de relativiser mais au fond, on a du mal à lâcher notre nonoss !

Pourquoi ?

Parce que fondamentalement, nous avons besoin de contrôle.

Pourquoi ?

Parce que sans cette certitude que nous maîtrisons les choses, nous sommes en panique.

Pourquoi ?

Parce que nous n’avons pas assez confiance en nous et en la vie.

Pourquoi ?

Parce que notre estime personnelle n’est pas suffisante.

Pourquoi ?

Parce que nous avons manqué de soutien, d’amour et de reconnaissance dans notre enfance.
Ou parce que nous avons été dévalorisées, mises sous pression scolaire, morale, sociale, etc.
Ou parce que l’un de nos parents était lui-même stressé, angoissé, déprimé ou malade et que pour ne pas en rajouter, nous avons fait tout pour ne pas faire de vagues. Ainsi, nous n’avons pas pu nous découvrir puisque trop absorbé(e) par le bien-être de ce parent.
Parce que nous avons traversé des moments extrêmement difficiles à l’âge adulte.
Etc.

Alors pour pouvoir « lâcher-prise » en toute sécurité, il n’y a pas trente six solutions : il faut travailler sur tous les maillons de la chaîne, toutes les marches de l’escalier.

Si cet article vous parle, je préconise pour commencer de bannir le terme de « lâcher-prise » de votre vocabulaire. Celles et ceux qui me lisent le savent, je n’aime pas cette expression. Parce que lorsque l’on a besoin de tout contrôler, rien que le début du commencement de l’idée de lâcher-prise fait peur.

On peut habilement remplacer « lâcher-prise » par :

laisser venir, laisser partir, laisser advenir, laisser vivre.

Dans tous les cas, il y a à « laisser » quelque chose. Et c’est là qu’il faut se demander : de quoi j’ai peur si je laisse ce quelque chose ?

Que vous ayez envie de travailler votre « lâcher-prise » avec un(e) thérapeute ou non, voici une série de 20 affirmations positives à lire ou à écouter lorsque le lâcher-prise est nécessaire mais difficile.

C’est un début, un soutien, un outil pour prendre soin de soi.

A lire :

  • Je suis puissance et pouvoir d’agir.
  • Je suis responsable de ma vie. Je laisse les autres prendre la responsabilité de la leur.
  • Ce qui est grave est rare. La majorité de mes tracas quotidiens sont minimes.
  • J’accueille toutes mes émotions sans jugement, avec ouverture et bienveillance.
  • Je me rappelle que la perfection n’existe pas.
  • Je fais de mon mieux en respectant mes limites.
  • J’apprends à me considérer et à me parler comme à ma meilleure amie.
  • Je respire profondément pour apaiser tous mes inconforts.
  • Quand je doute, je me remplis d’amour, de réassurance et d’indulgence.
  • Je laisse le passé au passé et je n’anticipe pas l’avenir. Je vis le présent.
  • J’ai déjà vécu des succès et des réussites. J’ancre toute cette confiance en moi.
  • J’intègre définitivement l’idée que je ne peux pas tout contrôler.
  • J’accepte ma vulnérabilité avec tendresse.
  • Je cherche des solutions plutôt que de ressasser mes problèmes.
  • Je suis une personne capable et aimable.
  • Je m’ouvre à la vie sans préjugé ni attente.
  • Je cultive la souplesse et la joie.
  • Je me libère de tout ce qui m’entrave, m’enchaine, m’empêche d’être pleinement libre.
  • J’ai de la gratitude pour tout ce que je suis déjà et tout ce que je possède déjà.
  • Je choisis la voie de l’optimisme.

 

A écouter :

 

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