« D’après la légende grecque, Damoclès était un courtisan du roi Denys l’Ancien, qui flattait souvent le monarque à propos de ses richesses et du bonheur attaché à sa condition. Pour faire comprendre à Damoclès combien ce bonheur était précaire, le roi l’invita un jour à un banquet. Damoclès était attablé, une épée suspendue au-dessus de sa tête ; mais cette épée n’était retenue que par un crin de cheval. C’est pourquoi l’on parle d’une « épée de Damoclès » pour décrire une situation périlleuse ou pour évoquer des circonstances particulièrement risquées ». (Source : Wikipédia)
Il y a des moments dans la vie où nous nous sentons comme Damoclès. Nous avons une épée au dessus du crâne.
Nous sommes tenus par quelque chose d’incertain et de flippant – qui nous prend beaucoup beaucoup d’énergie et souvent, beaucoup de notre joie de vivre.
Chaque jour, cette épée se rappelle à nous. Elle nous hante, nous empêche de vivre sereinement notre vie.
Licenciement ? Ou pas ?
Factures qui s’accumulent
Cirse ou rupture amoureuse ?
Maladie grave ? Ou bénigne ? Rechute ?
Perte d’un proche imminente ?
Échéance qui se rapproche ?
Attente de décision, de résultats ?
…
Mais de quoi parle t-on exactement ?
Nous parlons de stress, d’angoisse, d’anxiété, de fatigue et de lassitude, de tensions corporelles et psychiques, d’insomnies, de troubles alimentaires, d’agressivité, de dépression, de somatisations,…
Que faire ?
– Regarder les choses telles qu’elles sont et non telles que nous les imaginons
– AGIR !! Prendre le taureau par les cornes et avancer pour ne pas subir ou moins subir
– Prendre de la distance en se recentrant sur ce qui est positif dans notre vie
– Se détendre chaque jour en pratiquant des exercices de sophrologie, de respiration, de sport, de méditation…
L’idée est de redevenir acteur de notre vie.
De se lever de la table, de prendre une paire de ciseaux, de couper le crin de cheval, de poser calmement l’épée face à soi et de continuer à profiter du banquet 🙂
Laisser un Commentaire