J’ai envie de parler des hommes qui aiment et vivent avec certaines des femmes que j’accompagne.
J’ai envie de parler de ces hommes-là :
Ceux qui sont présents, aimants, bienveillants.
Ceux qui permettent au processus personnel de leur femme de se faire dans de bonnes voire excellentes conditions.
Ceux qui sont à l’écoute. Pour de vrai.
Ceux qui sont capables d’entendre et même de comprendre.
Ceux qui acceptent, accueillent, sans jugement.
Ceux qui encouragent, soutiennent, acceptent, patientent, rassurent.
J’ai plusieurs échanges en tête dans lesquels ces femmes témoignent de belles discussions qu’elles ont eues avec leur compagnon ou mari.
J’ai plusieurs échanges en tête dans lesquels ces femmes témoignent de petites et grandes attentions à leur égard.
De ma place, je constate qu’ils aiment ces femmes entièrement, dans leur singularité mais aussi (et surtout ?) dans leurs doutes, leur manque de confiance, leur angoisse, leurs choix quels qu’ils soient.
De ma place, je constate que certains de ces hommes sont de véritables « tuteurs de résilience » pour elles. Expression que j’emprunte au neuro-psychiatre, Boris Cyrulnik.
Ils réparent l’enfant blessée, ils adoucissent les peines passées.
Ils accueillent toutes les dimensions de ces femmes.
Ils sont des pommades guérisseuses.
Ils sont de belles et bonnes personnes, au bon endroit.
Ils sont des bras immenses.
Ils sont des épaules solides.
Ils sont des repères fiables sur lesquels il est (enfin) possible de compter.
Ils sont des vecteurs de bien-être et de confiance.
Ils sont des facilitateurs de vie.
Ils repèrent le positif de ces femmes.
Ils agissent avec leur cœur.
Ils les respectent et prennent soin d’elles.
Et ils sont et font mille choses encore…
Alors puisque nous parlons ici de développement personnel, de psychologie, de sophrologie, de nos processus humains… je voulais simplement saluer ces hommes-là.
Et dédier ce petit article à mon homme, de tout mon cœur !
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