8 habitudes à adopter à vie pour se sentir bien
Ces 8 habitudes sont totalement arbitraires ! 🙂
Mais je les ai testées et… approuvées. Alors si elles peuvent vous servir aussi, c’est tout bénéf !
Bien sûr, des habitudes « pour se sentir bien » vous en connaissez plein.
Je ne vais pas vous ressortir les incontournables messages santé… D’autres le font beaucoup mieux que moi.
J’ai plutôt envie de vous transmettre des habitudes qui permettent à mon sens, d’apporter une certaine liberté d’être et un bien-être global.
Certains jours, c’est plus facile que d’autres à appliquer. Et c’est totalement OK.
On y va ?
1/ Dire non
Nous avons tendance à dire « oui » trop souvent ! Nous avons beaucoup de mal à dire « non« . J’en ai déjà parlé moultes fois dans ce blog mais apprendre à dire « non » est l’un des plus cadeaux que vous puissiez vous faire.
Bien sûr, cela s’apprend. Car parfois, on ne nous l’a pas appris. Alors on dit volontiers « oui » jusqu’à ce que l’on se sente épuisée, perdue, agacée, lassée, au bout du rouleau, etc.
Dire « non » est un outil du « prendre soin de soi ». En affirmant ce que l’on veut ou ne veut pas faire par exemple, on se préserve. On écoute les limites, les alertes, au fond de soi. Et c’est juste.
2/ Dire oui
Oui je sais, je provoque un peu 🙂
Mais si on sait dire « non » lorsque c’est nécessaire, alors nos « oui » prennent de la valeur !
Dire « oui », de vrais « oui », quel bonheur ! C’est un excellent moyen d’être dans la joie, d’être alignée, d’être bien, etc.
Alors, si vous dites « oui », assurez vous que vous dites « non » aussi parfois.
3/ Ressentir
On pense, on réfléchit, on raisonne, on élabore, on cogite.
Et on oublie l’essentiel (selon moi), ressentir.
Ressentir son corps, ses émotions, toutes les sensations qui passent.
Ressentir son intuition, son feeling, son instinct.
Parce que « ressentir », c’est avoir accès à la boussole la plus précieuse et la plus fiable en nous.
4/ Honorer l’ici
Que celle qui ne fait jamais de plans sur la comète à longueur de journée lève la main !
Personne ?
Logique.
Nous passons notre temps à envisager la suite. Nous faisons des hypothèses, des projections, des estimations.
Mais au final, dans 90% des cas tout cela ne sert à rien.
Car le seul moment réel et vrai est le moment présent.
Anticiper en permanence la suite ou imaginer ce qu’elle pourrait être, met à distance du présent.
Résultat ? On ne vit pas sa vie, on l’imagine.
Dommage.
5/ Cultiver le positif
Ruminer, râler, crier,… Ca sert à quoi au fond ?
A pas grand chose. Juste à se faire encore plus mal et à amplifier notre colère ou notre inquiétude.
J’en parle souvent, d’abord accueillir l’émotion (je suis en colère, je suis angoissée, je suis lassée, etc.) et ensuite, s’orienter solutions.
Il y a toujours des solutions.
On trouve des alternatives, des idées, des choses à faire, des portes de sorties.
Si on raccourcit le temps entre émotion désagréable et identification de solution(s), on ne se laisse pas « pourrir ». On fait au mieux pour souffrir le moins possible, voire pour préserver son bien-être.
6/ Bien s’entourer
Il y a tellement de sources de « pollution » et de toxicité : relationnelle, environnementale, visuelle, auditive, émotionnelle, sanitaire, etc.
Faisons le ménage ! Ne gardons que ce qui nous fait du bien.
Un lieu de vie agréable, des amis sur qui compter, des vêtements qui nous vont et nous plaisent, des activités qui nous mettent en joie, une alimentation qui préserve notre santé, etc.
Le reste ? Basta. Stop. Terminé.
La vie est trop courte pour perdre son énergie et sa joie !
7/ Prendre du recul
Quand on a des soucis, des problèmes, on est comme focalisé dessus. C’est irrépressible. On ne pense plus qu’à ça ! Comme si notre cerveau avant oublié tout le reste.
Le reste ? Tout ce qui va bien. Tout ce qui est heureux, agréable, précieux dans notre vie.
J’aime bien me dire que « ce problème que je rencontre n’est qu’une partie de ma vie. Je ne la réduis pas à ce problème ».
Se prendre la tête ne résout rien. Pour aider à cette prise de distance, je ne peux que vous inviter à vous évader. Sortir, vous divertir, faire autre chose que ruminer ce problème.
La subtilité, c’est que pour « prendre » du recul, il faut se mettre en action. Cela ne peut pas se faire tout seul. C’est à chacun de choisir de faire un pas de côté.
8/ Considérer l’impermanence des choses
J’ai mis longtemps à ancrer ce principe en moi et à en faire quelque chose d’utile.
L’impermanence des choses c’est le fait que tout est toujours en mouvement, rien n’est figé pour toujours.
Ainsi, dans les moments durs, cela permet de savoir que le soleil va revenir et que la situation va finir par passer.
Dans les moments agréables, cela permet d’en profiter encore plus et d’honorer la joie que l’on ressent.
Considérer l’impermanence ramène au moment présent et apporte de la lucidité émotionnelle.
A nous de surfer sur elle 🙂
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