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Se laisser guider par sa joie : pourquoi, comment ?

Depuis quelques années, j’ai remplacé ma quête du Bonheur avec un grand B par une recherche plus concrète de joie. Malgré son bel idéal, le « bonheur » me semble trop absolu et finalement difficile à conscientiser au quotidien.

J’ai basculé vers la joie pas à pas pour finir par en faire mon critère de référence.

La joie se définit comme une émotion agréable et profonde, un sentiment exaltant ressenti par toute la conscience.

D’autres définitions existent mais toutes parlent de plaisir, d’état de plénitude, de désir satisfait, de gaieté, de bonne humeur, etc.

Que des trucs cool quoi ! 🤩

Alors pourquoi se laisser guider par sa joie ?

Tout d’abord parce qu’elle est personnelle. Il n’y a finalement que soi qui sait où elle se loge et comment elle se manifeste. Ainsi, quand on recherche la joie et qu’on la ressent, on est aligné. C’est à dire, plein(e), riche d’être et dans la conscience en plus 😇 Parce que nous avons le mode d’emploi de façon naturelle.

Ainsi, peut-être faut-il réfléchir à deux fois quand on laisse les clés du camion de notre joie à quelqu’un… #JDCJDR

Ensuite, la joie peut se déployer de tellement de façons qu’elle est réellement atteignable. Petite ou grande, légère ou intense, durable et profonde ou furtive et surprenante.

Bref, c’est tout bénéf’ ! 😎

Ainsi, l’idée d’aller vers la joie devient un chemin guidé, un peu comme si notre joie était notre GPS.

La joie rend la vie plus sympa. Et si elle est facile à ressentir quand tout est fluide ou quand tout va bien, à certains moments, nous sommes à l’opposé.

Comment faire pour lui donner une place de choix ?

Il me semble que pour commencer, on peut établir une liste des activités qui nous mettent en joie, des personnes qui nous mettent en joie, des états de notre corps qui nous mettent en joie, des pensées qui nous mettent en joie, etc. Bref de tout ce qui nous procure de la joie de façon évidente.

Puis, dans les situations où la joie semble absente, essayer de se relier à cette liste.

Par exemple : Je déteste faire le ménage. Ma joie fait la gueule dans ces moments-là. => J’aime quand ma maison est rangée et propre, cela me met en joie. => Ainsi, quand je démarre mon ménage, au lieu d’insulter la serpillière, je peux me relier à ce que cela va m’apporter.

Autre exemple : Je n’aime plus mon travail, je passe par des phases de colère et de frustration. => Par contre, passer du temps avec mes collègues et mes clients me met en joie. => Ainsi, quand je vais à mon travail, je peux sortir de ma frustration en me concentrant sur ces sources de joie.

Ce n’est ni positiver à tout prix. Ni occulter la réalité. C’est juste, choisir en conscience de la rendre plus agréable à vivre.

La preuve ce matin, alors que j’écrivais cette Chronique, mon chéri passe à côté, les yeux encore à moitié fermés et me demande : « Alors elle est sur quoi ta chronique ?« . J’ai répondu « Sur la joie« . Il a conclu en disant : « Commencer sa journée en écrivant sur la joie, c’est plutôt pas mal ça !« .

Et oui, la joie est au service de l’embellissement de notre vie ! Alors chouchoutons-la 🙌

2 Comments

  1. Rebeca Vargas

    Oui, la joie est personnelle. Je cherche la joie dans les choses simples de la vie 😊

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