Salut chers lecteurs bien-êtrologiques ! Comment ça va bien ? Je vous le dis tout de suite : j’ai décidé de commencer l’année avec les mots d’un autre. Pas que les miens ne soient pas au rendez-vous, mais surtout parce que je suis tombée sur une citation que j’estime à propos et… de surcroit (mot que nous devrions utiliser plus souvent non ?)… de circonstance !
Ce sera donc notre toute première citation bien-êtrologique de l’année 2016.
Alors qui est l’heureux élu ? Qui ?
Et bien c’est John Fitzgerald Kennedy himself ! (Révision de rentrée ici).
Avant de vous livrer le fruit de sa pensée, laissez-moi vous « rappeler » que nous avons changé d’année. Oui cela ne vous a sans doute pas échappé… Bye bye le 5 (finis les impairs), bonjour le 6 ! En réalité, ça fait un peu comme un anniversaire : un an de plus ! Mais sauf que pour le coup, c’est pour tout le monde. Il n’y a pas d’un côté celui ou celle qui souffle ses bougies en faisant un vœu et de l’autre ceux qui boivent du champagne. Tout le monde souffle, tout le monde boit et tout le monde fait des vœux…
Là où JFK est « très 2016 », c’est lorsqu’il lance :
Il ne faut pas chercher à rajouter des années à sa vie-mais plutôt essayer de rajouter de la vie à ses années.
What else JFK ? Tout est dit ! Cette phrase, ô combien pertinente, va tout à fait dans le sens de ce que je voulais vous dire (ça tombe bien remarquez).
Nous pouvons effectivement à chaque nouvel an, souhaiter à Autrui tout le bonheur du monde ou de conserver la santé, de trouver l’amour, de gagner plein d’argent, d’obtenir du succès… Oui.
Nous pouvons lui vouloir le meilleur. Le mieux, le « plus »… Oui.
Nous pouvons tous souhaiter plus de paix, plus d’harmonie, plus de bienveillance, plus d’amour… Oui.
Nous pouvons tous espérer un monde plus juste, plus humain, plus « riche », plus apaisé… Oui.
Et chaque année, nous pouvons formuler ces vœux pour nos proches, nos familles, nos amis, notre entourage, jusque pour nos commerçants !
Seulement il me semble – Houston, que nous ayons un problème.
Bien que cette intention d’usage soit belle, généreuse, altruiste, bienveillante… Le job ne se fera pas tout seul.
Autrement dit : souhaiter à Autrui d’être heureux c’est sympa mais seul Autrui pourra faire en sorte de l’être dans SA réalité.
Si un de vos proches vous souhaite de mener à bien vos projets, c’est touchant qu’il y ait pensé mais vous seul pourrez parcourir le chemin, vous seul ferez les choix (bons ou mauvais), vous seul récolterez le fruit de votre démarche.
Car dans le vécu, les émotions sont personnelles, subjectives (oui encore), singulières… Le ressenti aussi. Les sensations aussi. Les impressions aussi. Les sentiments aussi.
Bref, souhaiter du positif à Autrui c’est un peu comme l’encourager avant le départ ! Allez Poupou ! Et le gars qui va pédaler tout ce qu’il peut, c’est lui.
CQFD.
Mais attention, rien de négatif dans mon propos. Rien d’accusateur.
Plutôt l’envie de renvoyer chacun à son pouvoir d’agir 🙂
Oui encourageons nous mutuellement à aller vers nos rêves ! Oui encourageons nous mutuellement à marcher vers la joie, l’apaisement, la santé, l’épanouissement, l’amour,…
Après, il reviendra à chacun de désirer, de penser, de toucher, de vivre, de sentir… « d’Être cette belle année 2016 » si nous pouvons le dire ainsi.
JFK l’a bien compris : se souhaiter une belle année de plus oui, mais à chacun de faire le job pour qu’elle le soit…
Logique non ? 😉
PS / Voici mes vœux pour vous : mobilisez toutes vos ressources (et je vous assure que vous en avez à la pelle !) et voguez sur 2016 avec confiance !
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