« Mettre tout en équilibre c’est bien. Mettre tout en harmonie, c’est mieux »

Alors là je dis bravo ! J’adore cette citation.

Merci Victor Hugo !

Pour tout vous dire :

J’avais envie d’écrire sur la notion d’équilibre. Sur le fait qu’en ces temps compliqués, il me semblait essentiel de savoir trouver ou retrouver son équilibre.

En prenant en compte tous les paramètres. Les nouveaux surtout. Ceux dans lesquels on patauge depuis plusieurs mois : la COVID19, les confinements, les annonces, les mesures, les restrictions, les inquiétudes, les paradoxes, l’attente, le ras le bol, l’usure, la limitation de nos projets & autres « réjouissances ».

Et puis, je suis tombée sur cette citation.

Ça m’a parlé au cœur. Dans le cœur.

Comme si, c’était une évidence qu’il était bon de rappeler.

Parce qu’on le sait que l’homme fait preuve d’immenses capacités d’adaptation.

On le sait et on le constate ces derniers mois.

Mais si cette adaptation parait nécessaire à la survie (le mot est juste), elle n’est pas suffisante au fond.

Et ça c’est le petit pas de plus que nous permet de faire Victor Hugo.

L’équilibre c’est bien. L’harmonie c’est vachement mieux.

A prononcer le mot « Harmonie », quelque chose monte en moi.

Un peu comme si ce mot là n’avait pas sa place réellement en ce moment.

Un peu comme un gros mot.

Quoi tu veux de l’harmonie ? Nan mais atterris ! On est en pleine crise sanitaire et tu veux de l’harmonie ?!

Bah oui.

Je crois que j’en ai besoin. Et Victor Hugo a raison : c’est mieux que bien, l’harmonie.

Alors comment faire ?

Intuitivement, j’ai envie de dire : écouter son coeur.

Aller au-delà des questions basiques qui permettent l’équilibre et la sécurité. Mais qui ne font pas vibrer nos petites cellules corporelles.

L’harmonie pour moi se situe plutôt du côté de la joie, du contentement, d’une forme de fluidité agréable et bienfaisante qui « nourrit l’âme ».

Et c’est sans doute tout ça qu’il faut qu’on aille chercher actuellement (et tout le temps j’ai envie de dire).

C’est sans doute ce sel si bon qui quoiqu’il arrive, nous reconnecte à nous-même.

Cela peut passer par un état d’être, une activité qui motive et nous plonge dans un flow bienfaiteur, un échange de sourires avec nos proches, un moment de contemplation, une ballade dans la nature…

A chacun son truc après tout.

Cela fait au final une différence.

Entre survivre et vivre.

Entre avoir et être.

Entre inquiétude futuriste et moment présent.

Entre hypothèses et faits réels.

Entre subir et agir.

Entre être là et prendre sa place.

Ma psy me disait toujours : le plaisir, il faut aller le chercher !

Bah je crois que pour l’harmonie c’est la même chose.

Autant nous nous adaptons sans cesse pour conserver notre / un équilibre.

Autant nous « devons » partir en forêt pour trouver des champignons. Sinon on aura beau se dire qu’une omelette aux champignons frais, ce serait top : si on n’a pas de champignons, ça finira en omelette soit, mais en omelette nature.

Voyez ce que je veux dire ?

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